Claude Gentile
Thérapie Manuelle
1. CONCEPT
Praticien classique depuis 1967 (MK, Kinésithérapeute en France), mon
expérience professionnelle m'a amené à évoluer considérablement.
Il y a trente-neuf ans, ce fut la découverte du concept que je vais vous
décrire, faisant partie au même titre que l'homéopathie et l'acupuncture
- entre autres - de ce qu'on peut appeler les médecines énergétiques,
douces, etc.
L'objet de ma découverte est le suivant : toute pathologie physique, psychique, infectieuse, viendrait d'une seule et unique cause. Cette cause anatomique est la même chez tous les individus ! - les causes « multifactorielles » n'étant qu'un phénomène amplificateur.
Nous passerions donc le restant de notre vie à compenser ce déséquilibre mécanique engendrant ainsi un processus pathologique différent chez chacun, mais auquel personne n'échappe actuellement.
En résumé, la maladie est une dysfonction de la cellule sur une zone ponctuelle de notre anatomie.
Pourquoi la cellule « dérape » ? A cause de ce déséquilibre vertébral, les nerfs rachidiens émergent des vertèbres en étant plus ou moins irrités du fait de ce désordre permanent.
Si l'on accepte l'idée que ce déséquilibre peut s'effacer, les nerfs rachidiens retrouveront leur potentiel physiologique, supprimant ainsi toute pathologie présente et par là même, empêchant tout problème de santé futur.
Or, ma découverte repose sur le fait incontestable que cet équilibre vertébral rétabli, il sera définitif quel que soit l'âge du patient, sa pathologie et ses antécédents.
En fait, quel est mon véritable rôle ? Je ne traite pas, je ne suis là qu'en tant qu'intermédiaire afin de relancer les potentialités de notre organisme qui a été programmé - au départ - pour nous autoréguler, nous autodéfendre, nous autorégénérer.
Fort de mon expérience, j'ai cette certitude que toute pathologie est réversible, quel que soit l'âge.
Le contrôle et le constat de la montée en puissance de notre organisme, s'effectue à partir du rythme du liquide céphalo-rachidien, appelé Mouvement Respiratoire Primaire (MRP), que les ostéopathes connaissent, suite à la découverte du docteur Sutherland, indiquant l'existence d'un battement constant autour de 12 à 14 pulsations par minute, ne variant pas, contrairement aux rythmes cardiaque et pulmonaire qui fluctuent en fonction des efforts et des émotions.
Je me suis aperçu très vite, en « rentrant » dans mon protocole, que ces « battements » allaient considérablement augmenter chez mes patients :
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De 14 pulsations par minute chez l'homme, on passait à 38 pulsations par minute au final.
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De 12 pulsations par minute chez la femme, on passait à 35 pulsations par minute au final.
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De 8 pulsations par minute chez l'enfant, on passait à 32 pulsations par minute au final.
Que signifie cela ?
Il y aurait apparemment une relation entre l'état de bonne santé et le chiffre élevé du MRP ; une fois ces plateaux atteints, puis les années durant, ce chiffre ne redescend plus et l'état de bonne santé perdure.
Il s'agirait de notre potentiel de base qui serait multiplié par quatre chez l'enfant et pratiquement par trois chez l'adulte. Ce qui signifie que ce potentiel étant monté en puissance, nos défenses immunitaires sont également multipliées, nous mettant ainsi à l'abri de tous virus, microbes et consorts, comme les faits l'ont démontré au cours de toutes ces années, et par là même de pathologies gravissimes.
MODALITÉS PRATIQUES
• Le temps de « réponse corporelle » s'effectue sur neuf mois pour tout le monde
(une renaissance ?!), avec une réponse rapide possible de quelques jours sur des symptômes aigus - physiques, psychiques, infectieux - mettant le patient dans un relatif confort (jusqu'à 80% possibles) dès la première prestation. Les symptômes chroniques et anciens s'atténuant plus lentement en fonction de l'historique de leur installation. Ces neuf mois impliquent trois séances, quelle que soit la pathologie du patient, séances espacées d'un mois et demi entre deux prestations, soit au total trois mois. Une quatrième séance, autour de six mois après la troisième séance, valide le travail effectué, se concrétisant par la montée du rythme des battements du liquide céphalo-rachidien (MRP) à 38 pulsations pour les hommes - 35 pour les femmes et 32 pour les enfants.